Rencontre Etats-Unis | Albion (17.03.2000, Columbia)

Président Johnson : Bienvenu aux Etats-Unis, cher ami. J'espère que le vol fut agréable, parce que des distances pareilles
ne sont pas toujours douces.

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Président Johnson : Le plaisir est partagé. Si vous le voulez bien, je vous propose d'utiliser l'hélicoptère pour nous rendre à la Maison Blanche. Nous y serons plus à l'aise pour discuter.
Nous avons tant de sujets à aborder, et il est primodrial que nous trouvions un terrain d'entente pour nos futures relations.

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Président Johnson : Je comprends que votre priorité soit le développement du pays et l'amélioration du niveau de vie de vos concitoyens.
C'est pour cette raison que j'aimerai savoir quelles sont vos priorités en matière de développement et quel sera votre programme durant votre
mandat. Il m'est très utile de connaître au mieux vos objectifs ainsi que vos priorités.

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Président Johnson : Je suis certain que les entreprises atlantéennes sauront vous apporter toute leur
aide dans votre développement et dans vos projets. Peut être pourrions nous commencer par échanger sur la
situation politique interne à nos états et ensuite nous pourrons, si vous l'acceptez continuer par un tour d'horizon
de l'actualité internationale et de sa situation géopolitique.

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Président Johnson : Je vous félicite donc pour votre victoire législative. Je suis certain que ces résultats
augurent des heures lumineuses pour l'Albion. Sachez que les atlantéens ont massivement voté pour le Parti républicain
qui détient d'ailleurs une belle majorité au Congrès. Rejetant le communisme et le fascisme, j'ai une vision très conservatrice
de la politique. J'attache d'ailleurs une grande importance à l’ordre public et au respect de l’autorité. Je compte sur l'établissement
d'un nouvel ordre mondial dans lequel les Etats-Unis seront la première puissance économique et militaire mondiale. Je m'oppose
farouchement contre le principe de la paix par l'équilibre des puissances. Si vous voulez, on peut résumer ma position par la volonté
d'éviter de voir émerger une puissance rivale, la valorisation de l'outil militaire pour répondre aux agressions, la non-complaisance
envers les dictatures, la clarté morale et l'hégémonie bienveillante. Il est primordial pour moi de garantir la sécurité pour les atlantéens
par l'acquisition de technologies militaires très pointues et fortement dissuasives.
Si vous vous posez des questions quant à cette vision des choses, je suis à votre écoute.

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Président Johnson : POur cela, nous sommes entrain de développer un système d'armement
avant gardiste se basnat sur la multiplicité des facettes de notre armement conventionnel, et nculéaire.
Nous menons actuellement par exemple de longues et coûteuses recherches sur le bouclier anti-missiles
qui devrait à terme nous permettre de détruire avant l'impact les ogives ennemies. Nous voudrions,
dans cette optique inclure l'Albion au dispositif HADES.

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Président Johnson : Mon administration n'avait nullement l'intention de vous demander de participer financièrement, soyez rassuré.
En revanche, nous comptons sur votre accord pour l'ouverture de plusieurs bases militaires dont deux bases entièrement secrètes et souterraines.
Ces deux installations permettront le stockage et la gestion de missiles anti-missiles. Les autres bases, au nombre de deux serviront au
stationnement de soldats. Si vous l'acceptez, sur les deux bases officielles, l'une d'elles sera navale. La seconde sera terrestre et aérienne.

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Président Johnson : Les constructions seront assurées par les entreprises atlantéennes pour les bases secrètes.
En revanche, nous voudrions faire participer des travailleurs albionnais à la construction des deux autres bases.
Selon le documents que l'on vient de me remrttre, la durée des constructions durera environ quatre mois pour les bases
conventionnelles et six mois pour les autres. Les coûts sont estimés eux à cent millions d'euros. Est ce que ces conditions
vous conviennent ?

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Président Johnson : Les Etats-Unis disposent de technologies performantes. Toutefois, à l'heure actuelle, nous ne pouvons vous dire exactement quelle est la productivité de nos usines qui sont des complexes privés (catalogue en cours de préparation). Mais je suis heureux que vous abordiez ce sujet. Cela va nous permettre de négocier de sréductions que nous appliquerons à nos alliés du monde libre. Je ne connais pas votre budget, toutefois,
je suis certain que vous apprécierez un geste de notre part.

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Président Johnson : Notre industrie d'armement est soumise à un certain contrôle ce qui dot empêcher
que nos apareils ne soient vendus à n'importe qui. Toutefois, en ce qui concerne nos allés, il n'y a aucune
limitation à l'exception de ce qui concerne le nucléaire et les armes de destruction massive. Comprenez
que nous ne pouvons pas risquer de voir ces technologies usurpées par nos ennemis communistes
après un espionnage industriel, ou autre.

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Président Johnson : Je comprends votre point de vue et je le respecte, toutefois, nous devons faire attention
à ne pas nous lancer dans une course à l'armement. Néanmoins, s'il le faut, nos usines d'armement tourneront à
plein régime pour satisfaire la doctrine politique que je vous ai exposé il y a quelques minutes.

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Président Johnson : Je vous propose de m'exposer à présent votre politique de défense. Quels seront vos objectifs
et vos priorités pour garantir la sécurité de vos concitoyens ?

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Président Johnson : Je suis certain que vos efforts porteront leurs fruits. Les Etats-Unis y veilleront
et nous espérons que notre industrie pourra participer à votre essor certain. Le Secrétaire àla Défense, Benjamin
Gates m'a d'ailleurs confirmé que des réductions de l'ordre de trente à quarante pourcents seront accordées
à nos alliés et amis. Nous continuons encore d'encourager l'innovation ainsi que la recherche et développement
pour pouvoir mettre au point des modèles encore plus performants, notamment dans le domaine aérospatial.
Avez vous encore des questions sur le chapitre militaire ou de la défense ?