Rencontre Diplomatique entre la République Fédérative de Mauà et les Etats-Unis d'Atlantas à Cubatão

Secrétaire d'Etat : Monsieur le Président, Messieurs les ministres et Messieurs les diplomates, je tiens à vous remercier de cet accueil très chaleureux que vous nous avez réservé. Le Président des Etats-Unis n'a pu venir en personne en raison des nombreuses questions internes dont il doit s'occuper. Je voudrais débuter cette rencontre par l'aspect géopolitique. Nous voudrions commencer par signer un pacte de non agression avec votre pays. Y êtes vous opposés ?

Secrétaire d'Etat : Nous sommes d'accord sur la durée du pacte de non agression, 20 ans nous semblent raisonnable. En ce qui concerne la non ingérence nous encourageons cette mesure qui apportera une certaine stabilité dans nos rapports. Nous ne nous mêlerons pas non plus de pays S1, S6 et S8. En revanche, nous considérons S4 comme une clef pour la sécurité des Etats Unis d'Atlantas. Nous ne nous y implenterons pas mais si vous veniez à y intervenir directement ou indirectement, nous ne pourrions que violement le désapprouver. Nous ne parlons pas deguerre mais de mesures pour protéger notre souveraineté et nos intérêts vitaux. En sens inverse, nous vous demandons de ne pas intervenir en D2, D3, D4, D5, S32 et S4. Une intervention directe dans un des ces territoires constituerait une menace imminente pour nous. Nous voulons aussi reconnaître vos eaux territoriales et vous demandons d'en faire autant avec les notre.

Il lui tendit une carte délimitant les eaux territoriales des Etats-Unis d'Atlantas.



Secrétaire d'Etat : Nous vous demandons aussi tout de suite si vous voyez un inconvénient à accorder à nos navires marchands un droit de passage. Ce droit ne vaudra bien sur que pour les navires non militaires.

Secrétaire d'Etat : Dommage pour le droit de passage. Cela aurait permis de nous prouver mutuellement notre bonne volonté. Mais revenons à un châpitre plus politique. Nous avons déjà abordé avec la Lothrainne un sujet qui nous tient très à coeur. Nous voulons créer une organisation internationale qui serait chargé de préserver la paix sur terre. Une organisation que nous appellerions "Oranisation des Nations Unies". Elle serait constituée d'un Conseil de Sécurité que vous formeriez avec nous et la Lothrainne. Nous aurions tous trois un droit de véto sur les mesures adoptées. (hrp : un peu comme l'ONU). Qu'en dîtes vous ?

Secrétaire d'Etat : Bien entendu elle sera dénuée d'idéologie. L'idéologie est l'essence même de conflits inutiles. Nous n'adhérons pas à la votre mais la respectons et ne ferons rien pour renverser votre régime, si cela peut vous rassurer. Voulez vous aborder un autre sujet ?

Secrétaire d'Etat : que penseriez vous d'un échange d'ambassades ?

Secrétaire d'Etat : nous avons pour notre part traiter tous les sujets. Avez vous quelque chose à ajouter ?