Rencontre République de Myang - Etats-Unis d'Atlantas

Le Secrétaire général du Parti Communiste de Myang attendait le Président des Etats-Unis d'Atlantas dans un salon de l'aéroport habituellement réservé aux VIP. Il était entouré de nombreux conseillers et de plusieurs membres du Comité Central du PCM. Bientôt on vint lui annoncer que l'appareil atlantéen allait se poser dans quelques instants. Tous se dirigèrent vers le tarmac. Un long tapis rouge avait été déroulé et l'avion vint s'arrêter juste devant. La tension commençait à monter. Le risque que la rencontre dérappe était important. Néanmoins ils étaient confiants quant au déroulement de la réunion. Les portes s'ouvrirent. Le moment n'était plus à la réflexion.


Secrétaire général : Monsieur le Président, c'est un honneur pour notre pays de vous recevoir ici. Veuillez accepter mes plus chaleureuses salutations.

Le Président descendit doucement les marches et s'approcha du Secrétaire général pour le saluer.


Président : Messieurs, merci de votre accueil qui me touche beaucoup. Notre voyage a été long et éprouvant mais votre hospitalité nous regénère tous.

Secrétaire général : Bien rendons nous au Palais du Peuple. Nous y serons plus à l'aise pour discuter. L'aéroport est certes très joli mais il manque quelque peu de confort.

Les délégations montèrent dans des limousines et rejoignirent le Palais.

Une fois arrivé, le Secrétaire général du PCM montra le chemin aux officels atlantéens. La réunion allait pouvoir commencer.

Secrétaire général : Messieurs commençons donc par nous désaltérer. Voic du thé et des boissons fraîches. Bien, nous pouvons donc commencer. Nous voudrions vous parler de la situation militaro politique. Je pense que nous devrions tout d'abord commencer par reconnaître nos eaux territoriales respectives. Sachez que la République Populaire de myang reconnait les votre et s'engage à ne pas y intervenir.

Président : Je vois que vous ne perdez pas de temps. Nous reconnaisons votre souveraineté maritime. Sachez que votre pays constitue un point névralgique pour nos navires de commerce et de guerres. Nous voudrions obtenir un droit de passage pour eux. En plus, nous voudrions installer une base militaire sur l'île qui vous appartient. Elle servira à défendre les intérêts de nos deux nations. Etes vous d'accord ?

Le Secrétaire général se redressa dans son fauteuil et but une grande gorgée de thé.

Secrétaire général : Nous y voila donc. Cette île n'est peuplée que de quelques milliers de militaires. Aucune population n'y vit. Seul des soldats ont le droit d'y accéder. Elle constitue une zone interdite aux civils. Si vous n'y envoyez que des militaires nous sommes prêts à vous laisser y implanter un complexe militaire. Elle ne pourra toutefois pas excéder une capacité de 15.000 hommes, pour des raisons de sécurité. Vous pourrez surement comprendre.

Président : Nous enveyrons donc 10.000 hommes dans un premier temps et augmenterons les effectifs jusqu'à atteindre un effectif de 15.000 dans un an. Ceci devrait vous convaincre. Nous voudrions néanmoins vous demander d'en faire une base multi fonction. Elle pourrait accueillir des avions et des navires de guerre. Ceci sécurisera la région. Ne connaissant pas encore vos effectifs militaires, nous vous faisons une proposition en or, si je peux utiliser l'expression. En ce qui concerne le partenariat économique, votre pays est il ouvert à des échanges avec des pays libéraux et capitalistes ?

Secrétaire général : nos forces militaires sont en pleine réorganisation stratégique, (hrp : formulaire encore non validé)voila pourquoi nous acceptons votre proposition. Notre pays est prêt à discuter avec vous. Nous manquons de beaucoup de ressources comme le pétrole par exemple. Mais nous attendons que notre ministre des finances établisse un budget clair. Les récents bouleversements politiques ont profondément dérangé notre travail. Nous vous recontacterons une fois le budget établi par notre administration. En attendant, nous pourrions établir un partenariat culturel. Vous avez une culture riche et nous aussi, pourquoi ne pas procéder à un échange de professeurs. Nous vous envoyons une cinquantaine de professeurs de langue (mandarin) et civilisation Mayangaise. En contre partie, vous nous faîtes venir des professeurs de langue anglaise et de civilisation Gammésienne. Qu'en dîtes vous ?

Président : Nous acceptons votre proposition d'échange de professeurs, cela est un grand projet de notre administration. Nous tablons sur une éducation de qualité pour apporter à notre population le bien être matériel et spirituel qui est nécessaire à une vie agréable. Notre politique consiste à miser beaucoup sur l'enseignement et sur la recherche. Il est nécessaire pour nos pays de croître par la culture. Vous ne le savez peut être pas encore mais notre pays fait actuellement des recherches et des essais pour produire des blindés, des armes, et bientôt nous serons en mesure de produire de manière industrielle tout type de biens dont nous possédons la technologie. Ces recherches sont longues et coûteuse. Voila pourquoi nous vous proposons de nous aider dans nos recherches. Envoyez nous 50.000 travailleurs dont les salaires sont plus bas que chez nous et nous vous aiderons à industrialiser votre nation. Ensuite, nous vous proposons de ne pas faire les recherches en armement. En contre partie, nous vous vendrons des armes à un prix très avantageux. En parallèle vous ferez des recherches dans d'autres domaines. Bien entendu, vous nous transférerez diverses technologies contre différentes compensation, comme des prix avantageux sur nos marchandises. Vous y gagnerez en accelerant votre développemet économique .

Secrétaire général : il est vrai que les recherches sont longues et coûteuses. Nous pensons que votre proposition est assez honnête pour un pays capitalo libéral. Mais je me demande si cet arrangement ne dissimule pas un piège. Néanmoins, nous ne voyons pas quel serait votre intérêt de nous tromper. Si vous le faîtes alors notre rapprochement avec vous serait sérieusement compromis. Nous acceptons votre proposition. Vous nous transférerez les savoirs utiles à l'industrialisation, et en échange, nous acheterons nos armes du type blindés avions, et navires de guerre auprès de vos usines. Toutefois, pour que nous fassions cela, nous voulons aussi un transfert de technologie des armes à feu. Cela servira à nos usines de produire nos propres fusils et équipement pour nos soldats. En ce qui concerne le paretenariat pour les recherches, il est vrai que cela est plus rapide à deux. Toutefois, si nous cherchons des technologies et que nous vous les transférons, nous vouloons que vous le fassiez aussi de votre côté. Prenons un exemple. Les Etats-Unis découvrent une technologie X et la République de Myang une technologie Y. Alors nous vous fournissons la technologie Y contre la X. Cela vous convient il ? Cela me semble assez honnête, non ?

Président : soit, cela nous convient assez. Je pense que notre partenariat sear vraiment fructueux même si nous sommes conscient de ses limites. Vous êtes un pays communiste et un régime totalitaire en plus et nous une démocratie libérale. Néanmoins malgré ces divergences dans nos politiques intérieures, je pense que nous arriverons à nous entendre. Pour revenir sur un sujet plus geostratégique, je voudrais vous proposer d'intégrer la future organisation que nous comptons créer. (Elle se baserai sur le modèle de l'ONU)Son but sera d'assurer un maximum la paix sur terre et aura pour cette raison un Conseil de Sécurité. Nous voudrions que vous en fassiez partie. La République de Lothrainne et la République de Maua ont déjà été prévenues et envisagent d'y partriciper. Avec quatre pays dans le Conseil de Sécurité, l'organistion prendra du pouids et une importance certaine. J'envisage assez mal de la faire sans vous. Qu'en dîtes vous ?

Secrétaire général : créer une telle organisation est un projet ambitieux mais réalisable. En effet, le monde a besoin d'un tel organisme. Nous sommes enchantés que vous ayez pensez à nous pouir faire partie du Conseil de Sécurité et cela prouve que vous nous faîtes confiance. Vous ne serez pas déçu. Mais quel sera le rôle de ce "Conseil" ?

Président : Le Conseil de Sécurité aura un rôle de contrôle sur l'organisation. C'est à dire que ses membres possèderont un droit de véto sur les décisions de l'Assemblée générale qui sera composée des ambassadeurs de chaque pays à cet organisme. Chaque pays aura une voix dans cette assemblée et les membres du Conseil de Sécurité pourront nommer le Secrétaire général et pourront poser un véto aux décisions de l'assemblée. Cela garantira que les membres de l'assemblée ne votent pas de texte contraire aux règles de cette future organisation que nous voudrions baptiser "Organisation des Nations Unies".

Secrétaire général : nous ne pouvons que vous féliciter de cette initiative. Nous sommes prêts à faire partie de cette "Organisation des Nations Unies" en tant que membre du Conseil de Sécurité. Avez vous autre chose à traiter ?

Président : nous nous réjouissons déjà de votre participation. Nous avons abordé tout ce que nous voulions aborder. Nous vous remercions pour votre écoute et votre collaboration. Nous vous enveyrons notre ambassadeur dès que nous serons arrivés à Columbia et attendons le votre avec impatience.

La délégation atlantéenne rejoignit l'aéroport accompagnées d'une importante escorte policière. Le Chef de l'Etat monta les marches se retourna une dernière fois et salua d'un signe de main tous les officiels myangais présent sur le tarmac. Il entra ensuite dans l'avion et les portes se fermèrent derrière lui. Quelques minutes plus tard, l'avion volait dans le ciel en direction de Columbia, capitale des Etats-Uns d'Atlantas.