Rencontre Etats-Unis d'Atlantas - Royaume Uni de Britania

La nouvelle de la venue de Sa Gracieuse Majesté avait été accuillie avec beaucoup d'émotion aux Etats-Unis d'Atlantas. En effet, les déplacements du roi étaient peu nombreux et souvent très impressionants. Le Président Johnson s'était rendu à l'aéroport avec un détachement de la garde nationale. Lorsque les portes de l'avion s'ouvrirent l'hymne du Royaume Uni de Britania résonna. Le Président s'avança et salua Son Altesse sans jamais la toucher conformément à la tradition britannique.

Président Johnson : Votre Altesse, c'est un honneur pour moi de vous recevoir dans notre pays. MAis je dois aussi vous dire que les sujets dont nous devrons traiter sont délicats et complexes mais je ne doute pas que nous trouverons une solution à ceux-ci. C'est notre devoir envers nos concitoyens et vos sujets mais aussi envers l'humanité. Je vous propose de prendre mon hélicoptère pour se rendre à la Maison Blanche où nous serons surement plus à l'aise pour discuter.



Le Président et le Monarque montèrent dans l'appareil. Le reste des délégations prirent des berlines noires pour se rendre dans le coeur du pouvoir atlantéen.

Le roi Charles XIV:
Monsieur le président je pense que nous serons tout les deux d'accords pour dire que les agissement du gouvernement de Lothraine sont absolument inadmissible mais qu'il est cependant de notre devoir de tout mettre en œuvre pour trouve rune solution pacifique.

Président Johnson : Votre Majesté, je suis ravi de voir que nous sommes tous deu d'accords. Votre franc parler est tout à votre honneur. Les agissements de la République Populaire de Lothrainne sont inadmissibles et terribles de par leurs gravité et leurs conséquences pour des civils innov=cents et ceci dans des buts purement impérialistes. Aujourd'hui l'humanité se trouve confrontée à un choix douloureux. Soit nous choisissons la voix de la guerre qui sera coûteuse en vie pour nous comme pour eux. Soit nous empruntons le chemin plus pacifique. Certes, il sera plus difficile de leur faire entendre raison, mais je crois que c'est la meilleure solution pour tous. En combinant nos efforts, nous devrions arriver à vaincre ce que j'appellerais l'Axe du Mal. Notre devoir est évident : lutter sans relâche contre le communisme sous toutes ses formes. j'ai promis à mes électeurs de me battre, je teindrai parole. Sans vouloir m'immiscer dans vos affaires internes, je dois constater que le gouvernement sortant a fait preuve d'une certaine complaisance envers les communistes. Pour le biens de nos concitoyens et de la liberét dans le monde, je souhaite s=que vos politiciens prennent conscience de la gravité de l'heure et de ce qui se prépare

Le roi Charles XIV:
La complaisance du gouvernement Carrington a été très exagérer par certains médias et par l'opposition conservatrice, il est vrai que le premier ministre a mener une politique de détente avec les États communistes mais il est resté très méfiant a l'égard de ces pays par attachement a la démocratie, et il condamne tout autant que vous ou moi les actions de la RPL.
Cependant je vous rejoint nous devons nous unir pour empêcher les totalitarismes d'étendre leur emprise sur la planète, mais je n'engagerais mon pays sur la voie de la guerre qu'en dernier recours, et je conseiller mon futur gouvernement en ce sens, et je pense que quelques soit le résultat des élections je serais suivis, monsieur le président quels mesure concrète pouvons nous prendre pour préserver la paix?

Président Johnson : Nous ne voulons pas la guerre nous non plus. Mais nous allons agir à notre manière. Nous devons déjà nous élever publiquement contre la Lothrainne et ceci de manière unie de telle sorte que nous ne ferons bloc ensemble. Nous devons parler d'une seule voix. D'abord nous devrions condamner fermement et menacer de réprésailles économiques, humanitaires. Ensuite nous verrons.

Le roi Charles XIV:
Pour la condamnation, elle est bien entendu nécessaire, et elle du reste déjà faites, et nous vous suivons totalement dans vos actions contre la Lothraine, nous devons aussi réunir d'autres pays avec nous, les actes de ce gouvernement étant totalement nauséabond nous n'aurons je pense pas trop de difficulté.

Président Johnson : Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour convaincre d'autres nations de nous rejoindre. Votre soutien nous ravi et nous saurons nous en souvenir. Mais parlons donc d'une collaboration entre nos forces armées qui doivent se préparer à d'éventuelles représailles militaires en dernier ressort. Nous pensons qu'organiser des entrainements collectifs et conjoint seraient une première initiative. En nous entrainant disons trois fois par ans ensemble, nous optimiserons notre collaboration militaire mais aussi notre efficacité.

Le roi Charles XIV:
Des entrainements conjoints serait l'un des meilleurs moyens d'assurer notre efficacité en cas de conflit, et bien entendu de resserrer nos liens d'amitié, je pense même qu'au nom de notre alliance cette collaboration devrait être permanente.

Président Johnson : Notre collaboration sera permanente grâce à des rencontres fréquentes ainsi qu'une communication efficace entre nos services et nos états majors. Mais je crois que la création d'un organisme militaire serait peut être judicieux.

[hrp : une sorte d'OTAN]

Le roi Charles XIV:
C'est justement ce que je voulais vous proposer, un organisme militaire internationale, que nous pourrions ouvrir a d'autres pays partageant nos valeurs. Il va de soit que de mon côté notre adhésion a un tel organisme seras soumis a un vote du parlement et devras être accepter par le prochain gouvernement, mais je suis plutôt optimiste un tel traité n'est que la suite logique des relations amicales que nous avons toujours entretenu, aussi peut être pouvons nous commencer a discuter de ses modalités.

Président Johnson : En effet, nous devrions parler des modalités. Je suis tout ouie. je vous laisse l'honneur de commencer. Mais je crois que nous tomberons assez vite d'accord.

Le roi Charles XIV:
Premiérement je pense qu'il nous d'abord faut parler du rôle que nous voulons donner a cette organisation, il s'agit en premier lieu d'une alliance militaire, impliquant donc des règles de non agression et d'assistance mutuel, bon jusque là je pense qu'il n'y a aucun probléme, nous devrions parler du rôle de cette organisme avant d'aborder les institutions qui le caractériserons.
Pour ma part je pense que l'intérêt d'une tel alliance serait non seulement d'assurer notre sécurité, mais aussi d'en faire un arbitre dans les conflits mondiaux est-ce que vous partagez cette vision?

Président Johnson : Nous sommes en total accord avec les p^rincipes que vous venez d'énoncer. En effet, elle sera notre "bouclier" contre le communisme et la dictature. Nous pensons qu'une telle organisation nous permettras de lutter sous un drapeau commun sur les théâtres de futurs éventuels opérations. Puisque nous sommes d'accord, je pense que nous pouvons parler de l'organisation. Nous pensons que nous devons donner à chaque membre la liberté d'engager ou non et à la hauteur qu'il juge convenable ses forces. Néanmoins, nous aurons une assemblée générale qui voter les décisions d'intervention. Ainsi, si l'assemblée vote une intervention alors les membres s'y plieront et engagerons un minimum de 1000 à 5000 soldats en fonction de l'importance des forces armées. Nous respectons avec cette procédure la démocratie qui est notre leitmotiv.

Le roi Charles XIV:
Qu'entendez vous par assemblée générale? nous pensions pour notre part plutôt a un conseil constitué des représentants des États membres qui déciderais d'éventuels interventions, ou démarche diplomatique je pense que la présidence devrait en être tournante, et nous aurions ensuite un conseil militaire qui prendrais les décisions stratégiques, mais si vous pouvez préciser votre pensée?

Président Johnson : Par Assemblée générale, j'entendais bien sur une sorte de Conseil. Un membre, une voix. Ce conseil voterait les décisions et le Commandement militaire prendrait les décisions militaires pour les opérations sur le terrain. Ce commandement serait composé des généraux des membres envoyés sur le terrain. e Chef d'état major de ce commandement serait le même que celui assurant la présidence qui sera tournante et d'un durée d'un an. Les membres la prendront par ordre alphabétique.

Le roi Charles XIV:
Je pense que pour le commandement des interventions, il vaut mieux que le chef d'État major soit le représentant du pays le plus directement concerner par le conflit.

Président Jonhson : c'est aussi une alternative. Mais il sera assister dans les deux cas par deux autres généraux. Le rôle du chef d'état major sera de fixer les ordres, après consultation des deux autres généraux et ils procèderont à un vote. Ainis ils ne pourra pas prendre de décision irrésponsables. Les deux autres généraux seront les représentants des forces les plus engagées.

Le roi Charles XIV:
Il est évident que quelques soit le chef de l'État major ses décision devront être approuvé par le conseil militaire, et comme vous l'avez dit il seras assister de deux généraux pour appliquer ses décisions.

Président Johnson : Bien. Parlons maintenant de la section civile. Quel rôle voulez vous lui donner ?

Le roi Charles XIV:
Il me semble que c'était clair, le conseil politique discuteras des adhésions, des interventions militaires ou diplomatiques et prendras une décision, il seras composé des représentants des différents pays membres. La présidence seras charger d'établir l'ordre du jour de chaque réunion, de gérer les débats.

Président Johnson : Je crois que nous devrions lui ajouter un conseil économique. Les pays membres verseront les sommes qu'ils souhaitent. L'argent récolté servira à soutenir financiairement les pays les plus pauvres de l'organisation. Si un tel organisme est créé, les Etats-Unis d'Atlantas s'engagent à à verser chaque année 50 à 75 milliards USD. Bien sur le président de l'organisation sera chargé de surveiller l'utilisation de ces fonds qui ne pourront en aucun cas servir à acheter des armes ou développer du matériel militaire.

Le roi Charles XIV:
Je pense qu'il est inutile de créer un conseil économique pour cela, un trésorier pourrait être élus pour une durée de deux ou trois ans, et il serait contrôler par le conseil politique.

Président Johnson : c'est une alternative honnête et qui nous fera sépargner de l'argent pour des dépenses d'administration. Nous sommes donc d'accord pour que ce conseiller soit élu par les membres. Mais quel mode de scrution serait le plus avantageux ? Soit nous le faisons grâce à un scrution majoritaire soit nous prenons en compte le montnat des dons et leur poids dans les dons totaux. Le premier favorise l'égalité, le second garantie que les plus gros donateurs sachent où va leur argent et il incite les membres à faire des dons.

Le roi Charles XIV:
Je pencherais plus pour le scrutin majoritaire

Président Johnson : Ce genre de scrutin est certes plus égalitaire. Nous ne voulons pas polémiquer longtmeps sur un sujet pareil. En ce qui concerne les décisions internes prises par les membres elles se feront par un scrutin majoritaire. La majorité absolue simple suffira pour toutes les décisions mises à part celles concernant l'adhésion de nouveau membres, la modification du mode de fonctionnement et toutes les décisions concernant le fonctionnement de l'organisation qui se feront à la majorité des deux tiers au minimum.